Deuxfemmes jouent aux jeux de l'amour, au travers d'interviews, références sociologiques et cinématographiques, récit d'expériences personnelles détournées, et une bonne note d'humour sur un fonds de tragédie. Quizàs est un acte poétique radical. Interprètes et coautrices : Maeva Lambert et Amandine Vandroth Mise en scène collective : Maeva Lambert, Amandine
Vautours Vautours au Pays Basque DĂ©couvrez cette photo sur la communautĂ© de geo.fr. Vautours au Pays Basque Menu Rechercher. Le magazine Abonnez-vous. Chaque mois GEO directement chez vous ! 7.50 € par mois au lieu de 9.95 € Je m'abonne. Actuellement en vente. Avec GEO, partez, chaque mois, Ă la dĂ©couverte du monde ! Explorez les plus beaux pays Ă
VAUTOURSau pays basque + récit + diverses obs. [MAJ du 17/04] Accueil; Aide; Identifiez-vous; Inscrivez-vous Geai des chênes; Messages: 1359; Sexe: VAUTOURS au pays basque + récit + diverses obs. [MAJ du 17/04] « le: 11 Avril 2006, 10:44:36 » Hello, pas évident de poster quelque chose après le post de Gypa sur les vautours Donc voici une série sur les
ANIMAUXDes fermiers ont vu plusieurs de leurs animaux tués ces derniers jours par des attaques de vautours, près d'Hasparren au Pays basque Mickaël Bosredon Publié le 09/04/18 à 12h09
Enlevant la tête, vous les verrez surveiller les vallées en permanence, vous pourrez peut-être avoir l’occasion de les voir à l’œuvre Ce qui est impressionnant, ce sont les rassemblements de ces oiseaux. Ils tournent au dessus d’une proie potentielle, par dizaines. Si on a l’occasion d’assister à un “festin”, il est facile de constater la hiérarchie du groupe. Alors
Lorsd’une randonnée riche en découvertes et en émotions, Patxi vous amène à la rencontre de l’oiseau roi de nos montagnes et vous livre avec son coeur tous les secrets de la montagne basque, sa faune et sa flore. Vous vous aventurerez au plus près des niches des vautours fauves pour les observer à la jumelle.
Baladedécouverte de Hasparren avec Alain, raconteur de pays, et son âne Tous les jeudis matin de 9h à 12h du mois d'août Boucle de 3 km accessible aux petits et grands. Inscription à l'office de tourisme de Hasparren avant midi la veille au 05 59
Précédent7 8910 11 Suivant Paysage karstique et pastoralisme. Nature - Environnement, Randonnée et balade, Nature - Environnement Saint-Jean-Pied-de-Port 64220 Le 25/08/2022 A deux pas du célèbre, et très fréquenté, chemin de St Jacques de Compostelle, nous partirons à la découverte de deux ravins aux pentes douces où les troupeaux en estive pâturent.
Natureet patrimoine à découvrir ! Plénitude Découverte vous propose un séjour randonnée au Pays basque. Dans les montagnes, entre océan atlantique et Pyrénées, la nature, le patrimoine et les paysages seront vous apporter émerveillement. Différentes activités sont proposées : trek, famille, naturaliste, raquettes à neige, art, etc.
Nousœuvrons à l'étude et à la conservation des vautours fauve et percnoptère au Pays Basque.
MjSZsF. Vingt jeunes vautours, récupérés par le centre de soins pour animaux sauvages Hegalaldia à Ustaritz, ont été envoyés à 3000 km de là . Ils contribueront à réintroduire l'espèce dans les balkans, zone où les vautours ont complètement disparu. Ils sont tous tombés de leurs nids cet été dans la montagne basque. Et comme chaque année, les soigneurs du centre Hegalaldia les recueillent, jusqu'à ce qu'ils aient assez de force pour être relâchés dans la nature. Mais cette fois-ci, les vautours fauves ne retrouveront pas les Pyrénées. Vendredi dernier, une équipe de Green Balkans est venue les chercher, direction les gorges de Kresna, à trois mille kilomètres. Une zone où quatre espèces emblématiques de vautours se sont éteintes. "Dans la chaîne des balkans, avec les conflits, toutes les activités de pastoralisme se sont écroulées" nous explique Stephan Maury, du centre Hegalaldia. Et sans bête qui pâturent, il n'y a plus de nourriture pour les rapaces. Depuis dix ans, un vaste programme vise à réintroduire les expèces disparues ou menacées, dans les gorges de Kresna notamment. Les vautours basques font partie de ce programme. Vendredi dernier, il a d'abord fallu les attraper au vol, à l'aide de filets, avant de les mettre en cage pour le voyage. Pas une mince affaire pour des bêtes de près de 10 kilos et 2 mètres 50 d'envergure.... Regardez le reportage de Stéphanie Deschamps et Emmanuel Galerne Des vautours basques vont repeupler les gorges de Kresna en Bulgarie
1er Salon Saveurs et Artisanat du Monde Artisanat, Foire - Salon, Vin - OenologieLa Ciotat 13600Du 21/10/2022 au 23/10/2022L'objectif de cette première édition du Salon Saveurs et Artisanat du Monde sera de faire découvrir aux visiteurs de La Ciotat et de sa région l’artisanat du monde et les spécialités culinaires. Les exposants proposeront et feront découvrir aux visiteurs des objets, textiles, artisanat en tout genre.. et/ou des produits et saveurs épices, vins et autre saveurs.. de leur pays. Les restaurateurs leur feront découvrir les spécialités culinaires de leur pays. Les pays et régions représentés seront la France, la Corse, le Portugal, la Tunisie, le Sénégal, le Tibet, la Géorgie, l'Italie, le Danemark, le Brésil, le Mexique, l'Uruguay, la Colombie, le Maroc, l'Inde, le Japon et le Cambodge. Cette manifestation se tiendra au complexe Paul Eluard composé de deux salles La Salle Paul Eluard, dans laquelle se trouveront des stands d'Artisanat et saveurs du Monde, La Salle Baugnies de St Marceaux dans laquelle des restaurateurs proposeront de la restauration du Monde sur place durant les trois jours. Des food trucks sont prévus sur le parking de la Salle Baugnies de St Marceaux. Deux nocturnes seront organisées les vendredi 21 et samedi 22 octobre durant lesquelles[...]
De l’OcĂ©an AtlanÂtique Ă la Mer MĂ©diÂterÂranĂ©e, le GR10 tutoie les plus beaux sommets des PyrĂ©ÂnĂ©es. Je rĂŞvais de cette grande traversĂ©e des PyrĂ©ÂnĂ©es. L’hiver ajouÂtait la neige au dĂ©fi. Pluie, nuages, vent, il allait falloir batailler avec la mĂ©tĂ©o. Mettez-vous dans l’ambiance Je voulais de la neige pendant ce voyage. Je voulais voir la montagne sous la neige, lever les yeux sur des sommets invinÂcibles, expĂ©ÂriÂmenter le frisson de l’altitude, sentir le parfum de l’aventure. Aussi, je voulais un hiver un peu moins froid qu’ailleurs. Ce bond jusqu’au pays basque Ă©tait calculĂ©. MaĂŻder – Marie-Belle en basque – vient me cherÂcher un peu après midi. On avait dit 10h au dĂ©part, et puis finaÂleÂment 11h, et puis finaÂleÂment… On devrait bien s’entendre. Sur son blog, elle parle de ses racines basques avec un ton intime et sincère, sans en faire des tartines. Ses photos sont sobres et poĂ©tiques. Je suis content de faire un bout de route avec elle. Il fait doux Ă Saint-Jean de Luz. Ciel mausÂsade, rideaux tirĂ©s, terrasses clairÂseÂmĂ©es. Vent de nord-ouest force 4 Ă 5, locaÂleÂment force 6 Ă 7, mer agitĂ©e Ă peu agitĂ©e. La station balnĂ©aire hiberne. On va au marchĂ© acheter des chipiÂrons farcis Ă l’encre, du jambon de Bayonne et des petites saucisses chez l’oncle, avant d’aller saluer l’ocĂ©an AtlanÂtique depuis la pointe de Sainte-Barbe, embrasser le vent du large et respirer les embruns Ă plein poumons. Le voyage recomÂmence mainÂteÂnant. Le sentier du littoral court le long de la corniche. L’ocĂ©an vient saffaler sur des couches de roches en mille-feuilles. Ă€ nos oreilles bourÂdonne un vent violent. CĂ´tĂ© terre, des nuages sombres s’accrochent au sommet de la Rhune, le premier mille mètres de la chaĂ®ne des PyrĂ©ÂnĂ©es. Cette journĂ©e est une journĂ©e d’approche. Le soleil se couche sur la baie d’Hendaye. Nous sommes hĂ©bergĂ©s par Xabi, profesÂseur d’anglais qui travaille du cĂ´tĂ© espaÂgnol. En tant que Basque, il Ă©voque les raisons qui alimentent les vellĂ©itĂ©s d’autonomie les relaÂtions diffiÂciles avec le gouverÂneÂment espaÂgnol, l’instabilitĂ© poliÂtique, la corrupÂtion, le chĂ´mage… Son salaire Ă lui n’a pas Ă©voluĂ© depuis 7 ans bien qu’il travaille deux heures de plus par semaine. Aujourd’hui, il a choisi de gagner moins pour vivre mieux vingt pour cent de salaire sacriÂfiĂ©s pour vingt pour cent de temps libre en plus. Dans quelques jours, il s’envole en Nouvelle-ZĂ©lande, laisÂsant pour un semestre sa place vacante Ă un jeune diplĂ´mĂ©. En Espagne, le chĂ´mage des moins de trente ans frise les cinquante pour cent. Sur les chemins de compostelle ? Hey ! Ă€ Saint-Jacques de Compostelle ? » Le gars nous a vu arriver de loin, avec nos sacs Ă dos. MĂŞme pas le temps de lui rĂ©pondre que nous, c’est le GR10, il nous Ă©tale dĂ©jĂ tout son palmarès. Le ComposÂtelle, qu’il a pratiquĂ© plusieurs fois avant de venir passer sa retraite dans le coin parce qu’il a un faible pour le basque. Mais il parle aussi espaÂgnol, arabe, ch’ti… L’oreille musiÂcale » qu’il dit… Et une bouche grande comme ça. On n’en a pas placĂ© une qu’il repart dĂ©jĂ en nous souhaiÂtant bon pĂ©leÂriÂnage… Ă€ Biriatu, la carte indique six heures de marche jusqu’à la prochaine halte. Il est dĂ©jĂ midi et j’ai des courÂbaÂtures de la veille… Ça va faire un peu court d’autant que le petit raidillon de bienÂvenue annonce d’entrĂ©e la couleur. Face Ă la pente, les gouttes ruisÂsellent le long de mes bras. MĂŞme mon carnet de note transÂpire. PerchĂ©s sur les rochers, les vautours nous regardent progresser avec peine. Aupa ! – en avant !» Au bivouac Berret sur la tĂŞte, accent au coin des lèvres, Jean-Marie est un gars du pays qui connaĂ®t bien la montagne. Si nous ne parveÂnons pas Ă la maison des chasÂseurs de vautours avant la tombĂ©e de la nuit, quelques bergeÂries devraient nous fournir un toit et des murs oĂą nous abriter. La nuit nous cueille avant d’arriver quelque part. Nous montons la tente sur les hauteurs de Olhete. Enfin… Je monte la tente. Celle de MaĂŻder, toute neuve, a Ă©tĂ© livrĂ©e sans arceaux. Ma mini-tente tunnel se transÂforme pour la nuit en palace king-size. Feu de fougères et de bois mort, rĂ©conÂfort d’une soupe, caloÂries de quelques gâteaux au sainÂdoux trempĂ©s dans le thĂ©. Les cloches des pottocks parquĂ©s non loin bercent notre sommeil. Le mien, surtout… Cascades et vestiaires Dans son petit duvet d’étĂ©, MaĂŻder a vĂ©cu fraĂ®ÂcheÂment les tempĂ©ÂraÂtures voisines de 0°C. CollĂ© Ă la paroi de la tente, la brise m’a caressĂ© le dos. La nuit a Ă©tĂ© courte. La journĂ©e sera longue et le vent fatiguant. Il y a de la caillasse, des sentiers escarpĂ©s, des sources qui cascadent. Nous dĂ©grinÂgoÂlons la pente jusqu’au village de Sare. Pour MaĂŻder, c’est la fin du voyage et la promesse d’un lit douillet. Pour ma part, j’apprends que Sarako Izarra – les Ă©toiles de Sare – sont Ă l’entraĂ®nement. J’envisage de planter la tente sur le rond central mais les copaings de l’ovalie ne l’entendent pas de cette oreille. Je dormirai dans les vestiaires chauffĂ©s du club de rugby. Sur la route d’AĂŻnhoa Sur la route d’Ainhoa, le vent balaye le sommet des reliefs ondulĂ©s. Dans les haies d’arbustes, il siffle comme le fouet juste avant qu’il ne claque, chuchotte dans les branches une colère inviÂsible. Des rivières coulent au pied des collines. Les truites et les saumons viennent y frayer sur des mosaĂŻque de pierres multiÂcoÂlores. Des arbres fiers comme des baobabs bordent le sentier forestier. Au village, tout est fermĂ©. Le patron du gĂ®te rural Harazpy » sort sa plus belle Ă©criÂture pour Ă©crire mon nom – qui perd un u au passage – dans son registre. Vous ĂŞtes le premier client de l’annĂ©e » Son accent est si fort, j’ai cru qu’il me parlait en basque ! RĂ©fugiĂ© sous une double couche de couverÂture, j’écoute tempĂŞter les rafales de vent. La pluie se joint Ă la fĂŞte. J’ai bien fait de me mettre Ă l’abri. La chasse aux calories Le chaufÂfage du gĂ®te est en panne. Pour me protĂ©ger du froid, je mange. Depuis le dĂ©but, je carbure au sucre et au gras. Les polvoÂrones, petits gâteaux dĂ©liÂcieux et friables comme du sucre glace figĂ© au sainÂdoux 500 kcal les 100g. Le touron, amandes grillĂ©es, sucre et blanc d’œufs 600 kcal. J’ai besoin d’énergie. Ă€ Ainhoa, la dame qui tient le cafĂ© piĂ©tine de table en table. Non , on ne fait pas Ă manger. Au village il n’y a rien. Tout est fermĂ©. Il n’y a que moi. Vingt-sept ans que je suis ouverte. La seule du village. MĂŞme le relai postal est fermĂ© pour six semaines. Et pourÂtant il est payĂ©, lui. Mais c’est la dernière annĂ©e. J’en ai marre. Ils me fatiguent tous. TOUS ! On me demande toujours plus et tout le monde trouve ça normal. Mais moi je ne suis pas d’ici. Je suis de Saint-Jean de Luz. C’est une autre mentaÂlitĂ©, Saint-Jean-de-Luz. Ici les gens sont mĂ©chants. Jaloux et mĂ©chants. MĂŞme mes enfants n’ont pas d’amis ici. Et pourÂtant ils y sont nĂ©s. » Je repars avec une carte postale du bar en cadeau. SacrĂ© personnage ! Notre-Dame‑d’AubĂ©pine Depuis la petite chapelle Notre-Dame‑D’AubĂ©pine qui domine le village, je contemple les reliefs doux de la vallĂ©e de la Nive. Le sommet de la Rhune marque une limite. Au delĂ , la cĂ´te basque, Hendaye, Saint Jean de Luz balayĂ©e par le vent. Les premières Ă©tapes de ce GR10 qui m’emmène Ă l’assaut des PyrĂ©ÂnĂ©es sont derrière moi. C’est certaiÂneÂment la dernière fois que j’aperçois l’ocĂ©an et j’ai envie de faire durer ce moment. Je me laisse porter par le vol des vautours. J’ère entre les tombes du cimeÂtière, m’imprègne de leurs motifs Ă©tranges, tente de trouver le nom Ă©trange des dĂ©funts. J’inspecte les croix du calvaire, note les dĂ©tails sanguiÂnoÂlents, cherche une expliÂcaÂtion aux contorÂsions Ă©nigÂmaÂtiques du troiÂsième larron. Tout ici semble en suspens. Mais moi je suis en marche. Les nuages arrivent, il faut repartir. Je dois trouver un toit avant la tombĂ©e de la nuit. En route pour l’intĂ©rieur des terres. Le pays basque m’a mis en appĂ©tit !
ou voir des vautours au pays basque